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Un blog de Bernard Lamailloux – ingénierie pédagogique et artistique

Archives du tag “souvenirs”

Non, l’ennui n’est pas une fatalité…

Ah là là, que d'émotions...

Dans mon dernier billet je vous faisais part de mes sentiments mitigés après trois séances MOOC ITyPA.

J’y évoquais ce qu’il faut bien appeler l’ennui que je ressentais de plus en plus lors du visionnage des dernières séances, après l’enthousiasme des débuts. Plusieurs personnes ont eu la gentillesse de me faire part de leurs propres réactions, sur ce blog ou ailleurs, en me suggérant parfois de mettre un peu d’eau dans mon vin, au motif que, bah, quand on assiste à un cours on s’ennuie forcément un peu, que si on s’ennuie il faut s’occuper utilement en prenant des notes, et qu’après tout il faut bien « faire avec » parce que… parce que c’est un peu la loi du genre.

Aussi j’aimerais aujourd’hui vous raconter une histoire… vraie .

 

Histoire d’un vieux monsieur

Un vieux monsieur s’installe à une table de conférence, face à un parterre de chercheurs en intelligence artificielle. Il parle pendant une heure. Il est filmé par une caméra fixe. Pas vraiment générateur d’engouement comme dispositif. Et pourtant…

…Pourtant un silence religieux se fait immédiatement, dans un climat d’attention bienveillante et détendue. Et le vieux monsieur parle toujours, très simplement, avec des mots de tous les jours, bien que s’adressant à un public averti. Et moi, pauvre clampin derrière son petit PC, je ne peux m’empêcher de penser à cette phrase amusante de l’écrivain norvégien Gunnar Staalesen : « Les tableaux aux murs, tous dans des cadres dorés, étaient dus à des peintres si renommés que même moi j`arrivais à les reconnaître. »

Mais revenons à notre vieux monsieur. Sans jamais se départir d’un sourire lumineux (parce qu’authentique), il nous donne de précieux éclairages sur un sujet qui le passionne, et qui me passionne également, à tel point que j’ai pris l’habitude de visionner régulièrement cette conférence, que je connais presque par cœur maintenant, et bénis ceux qui ont eu le bon goût de l’enregistrer, puis de la mettre à disposition sur Vimeo.

Les premières fois j’étais tout simplement scotché à mon fauteuil par la poussée gravitationnelle. Space Mountain à côté, c’est de la bibine. C’est émouvant de se sentir ainsi tiré vers le haut. Émouvant parce qu’il est somme toute assez rare de ressentir avec une telle jubilation le plaisir d’apprendre et de comprendre.

Aucune envie de zapper sur d’autres onglets de mon navigateur… Aucune envie de prendre des notes non plus, enfin, la première fois du moins. Quelque-chose me dit que même ceux qui ont en général la bougeotte en pareil cas se comporteraient tout autrement ici… Allez, je prends le pari que même Christine Vaufrey, qui a eu la gentillesse de confier ici qu’elle était sujette à ce virus, ne bougerait pas un cil 😉

Le vieux monsieur continue de parler. Il présente simplement le plan de son intervention, chaque « chapitre » a droit à son introduction, son développement, sa conclusion en bonne et due forme, et même une petite phrase qui fait impeccablement le lien entre ce qui précède et ce qui va suivre. Il y a là un vrai souci de nous prendre par la main, en douceur, de ne jamais nous perdre, sans avoir l’air d’y toucher. Vous savez, un peu comme le si rassurant petit rond bleu « Vous êtes ici » qu’on voit parfois sur les plans de ville affichés dans la rue… Pourtant, pas une seule fois on ne voit le monsieur consulter ses notes !

Ah, les notes, parlons-en : les autres fois, en re-visionnant la conférence, je n’ai pas pu résister à la tentation d’en prendre, des notes, histoire de pouvoir m’en repasser quand même une petite couche pendant les moments où je dispose de moins de temps. À toutes fins utiles, j’ai mis ça dans un dossier public sur un bout de cloud, si ça vous intéresse servez-vous.

Voilà. C’est terminé. Le vieux monsieur a fini de parler. Toute la salle l’applaudit, longtemps, debout. Lui regarde tous ces gens avec émotion et gentillesse, un peu gêné, tout en dodelinant doucement de la tête pour les remercier de leur attention. À ce moment précis, ce n’est plus un vieux monsieur, c’est un tout jeune homme.

Cela se passe en décembre 2007, pour les 40 ans de l’INRIA. La conférence s’intitule « Les nouvelles technologies, révolution culturelle et cognitive ».

Le monsieur s’appelle Michel Serres.

Lez zippés (un texte de Philippe Supera)

pas le temps...Philippe Supera (dont j’ai parlé dans l’article précédent) avait écrit un texte plein de vie, de colère, mais aussi d’humour, il y a quelques années. Ça s’appelle « les zippés » et ça parle des gens qui n’ont le temps de rien, qui vivent la vie comme une fuite en avant perpétuelle, et n’accordent finalement d’attention qu’à eux-mêmes. On a tous connu ça. Lisez, ça vaut son pesant de cacahuètes…

Parfois j’ai des idées qui me font rire. C’est incongru, voire déplacé vu l’époque à laquelle nous vivons, mais je ne peux pas m’en empêcher.

Une de mes dernières idées à la con est de faire un site sur les Zippés. Un truc où chacun pourrait raconter sa dernière anecdote vécue avec un ou une Zippée ou proposer des produits dérivés.

Mais, vous entends-je objecter, que sont les Zippés ? Eh, bien, ce sont des cons. Mais pas n’importe quels cons, les cons pressés. Vous savez, ceux qui arrivent derrière vous en bagnole et qui vous collent à 10 cm pour bien vous montrer l’a quel point vous les gênez en existant et en étant là, sur LEUR route où ils ont de bonnes raisons de rouler plus vite que vous parce que leur temps à eux est précieux, parce que ils sont importants et que « merde il peut pas la pousser sa tire de prolo au lieu de se traîner à 90 alors qu’on peut pas doubler en haut de côte ce connaaaaard ? ».

Le Zippé ne peut pas rester à distance de sécurité, faut qu’il colle au point de vous souffler sa mauvaise haleine dans le cou, jusqu’à ce qu’il puisse faire rugir son moteur de Zippé et vous doubler de façon agressive en se rabattant entre vous et le camion qui vous précède, en vous obligeant à freiner pour vous mettre à distance de sécurité. P’tain, j’ai pas d’affinité particulière avec Sarkozy (j’aime manier l’euphémisme, parfois) mais quand même, je trouve qu’il a fait du bon boulot en réussissant à faire baisser les excès de vitesse. Il a traité les tomobilistes excités comme les abrutis qu’ils sont. Il a pas cherché à faire de la pédagogie. Les tomobilistes sont imperméables aux méthodes intelligentes. Sarko les mate à coup d’amendes, de radars automatiques, de flicages intensifs… Tout bien. On se sent mieux sur la route. Mais, il y a encore pas mal de Zippés en circulance.

L’autre jour, c’était une blondasse, bien entretenue, belle femme de 35-40 ans, au Mans, place de la Sirène. Au volant d’un 4×4 avec pare buffle au cas où elle en rencontrerait un entre la parfumerie et la boutique Fauchon. La place de la Sirène est prioritairement piétonnière. Des piétons y piétonnent. Cette conne qui accélérait déjà de manière agacée n’a pas pu s’empêcher de klaxonner pour faire s’écarter la vermine piétonnière qui avait l’indélicatesse de se trouver sur son chemin et lui faisait perdre ses chances de n’avoir que 15 mn de retard à son rendez-vous chez le coiffeur ou à son fitness.

Quinze mètres plus loin une bagnole avait le mauvais goût de choisir ce moment pour sortir d’un garage incommode et nécessitant une manoeuvre pour sortir. Vous croyez que la conne bourgeoise blondasse aurait attendu courtoisement que la manoeuvre se fasse sans stress ? Non, il a fallu qu’elle fasse sonner la trompe de sa chiotte en plein centre ville encore une fois.

Je ne sais pourquoi mais j’ai eu des envies de meurtre, lui foutre une grande baffe dans sa tartine de cosmétiques m’a d’un seul coup paru la chose la plus urgente que j’avais à faire. J’ai eu envie de foutre des grands coups de lattes dans sa carrosserie, de jouer des poings sur le capot pour qu’elle apprécie à quel point la rencontre entre la chair humaine et son tas de ferraille produit des effets intéressants, de tordre ses essuie-glaces (comme dans je ne sais plus quel film avec Jean Rochefort, Un éléphant… ? Peut-être). Par chance pour elle et pour moi elle est partie avant que j’arrive à son niveau… Y’a donc pas eu d’esclandre, on ne m’a pas interné et je suis toujours là pour raconter mes fadaises et la blondasse sévit probablement toujours au Mans avec arrogance.

Des Zippés, on en voit beaucoup, c’est effrayant. Dingue aussi le nombre de tarés qui trouvent urgent de rouler en 4×4 en ville pour griller 25 litres au cents au lieu de 8 ou 10, comme si le pétrole cramé ne foutait déjà pas assez vite la merde dans l’atmosphère (dans le sens écologique et politique mondiale du terme).

Je pense que faire chier les Zippés devrait devenir une priorité nationale, que des fonds européens devraient être affectés d’urgence. Qu’on crée un ministère pour ça et qu’on y colle Sarkozy à vie, spécialisé, entièrement dédié à ça. Si Chirac promet de faire ça, je vote pour lui aux prochaines élections (c’est même pas vrai mais faut pas le dire).

Philippe Supera

Voilà. Je sais que ce texte a été lu mardi 9 mars, au Mans, lors des funérailles de Philippe.

Pour toi, Philippe, qui n’es hélas plus de ce monde, comme on dit, mais qui fera à jamais partie de notre monde intérieur…

Philippe est parti…

Philippe

Je viens de perdre un ami très cher. Il s’appelait Philippe Supera, il jouait un petit peu de la guitare (Jasmine, sa Takamine…), était branché photo, mais c’était surtout un as de la programmation, d’internet, d’un autre monde possible et du cœur gros comme ça.

Je l’ai rencontré par…internet ! C’était le génial inventeur de TarifCom, un petit logiciel qui calculait en direct le montant de notre facture de téléphone à l’époque antédiluvienne où les forfaits illimités et gros débit n’existaient pas encore…

Philippe est devenu par la suite mon hébergeur, puis mon ami. Plusieurs étés de suite, il est passé à la maison avec son fils Léo à l’occasion des grandes vacances…

Sur ce petit film de retrouvailles aussi joyeuses que musicales, on devine plus qu’on ne voit Philippe, qui apparaît de manière fugace parmi les convives (attention, c’est dans les toutes premières secondes). C’est celui qui a des moustaches de gaulois, une chemise en jean, et qui tient le super appareil photo avec un objectif commak. Ce jour-là ils étaient venus, les uns et les autres, de St Barth, de St Trop, de la Suisse, de la Sarthe… se poser un peu, se croiser, se rencontrer par hasard pour quelques heures, quelques jours, à la maison. Après cette prise, on avait chanté « Because » des Beatles… à plein de voix, et Philippe s’est joyeusement époumoné avec nous. J’en ai encore le frisson.

Je ne trouve pas les mots pour dire à quel point ce type-là me manque… Dans le prochain article je vous proposerai un texte écrit par Philippe. Ça s’appelle « Les zippés »…

Un match de foot vu par quelqu’un qui n’aime pas ça…

J'aime pas le footAussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été complètement indifférent au football, et en même temps toujours au milieu des footeux.

Cela a commencé à l’école… Les instits, et plus tard les profs de gym, quand ils voulaient nous faire plaisir et avoir la paix pour une heure, nous disaient « Bon, ben vous n’avez qu’à faire un foot ! ».

A ce moment-là, tous mes camarades sautaient de joie, et moi je pensais « tu parles d’une poisse »…

En effet un gamin qui ne joue pas au foot finit toujours par s’entendre dire « bon, ça fait rien, on va te mettre dans les bois (ça voulait dire que j’allais être le gardien de but, poste détesté de la plupart des autres joueurs, allez savoir pourquoi).

J’ai donc passé pendant mes plus belles années des heures à me morfondre dans ma cage, sans arriver à me sentir le moins du monde concerné par ce qui se passait, sil l’on excepte les fois où j’entendais un boulet de canon siffler à mes oreilles, invariablement suivi une seconde plus tard par une poignée de types vociférant et gesticulant, bouches tordues et mimiques simiesques, manière bien particulière  de me signifier qu’il était pourtant facile à arrêter, celui-là…

j'aime pas le footUne fois, j’étais en terminale, mes potes m’ont convaincu d’aller assister à un match… c’était à Marseille, au stade vélodrome, en 1974 probablement… non seulement je me suis ennuyé à mourir, mais en plus les deux seules fois où je regardais ailleurs j’ai vu tout le monde se lever tout autour de moi, pour comprendre quelques secondes plus tard (décidément !) que la baballe était dans les bois, donc.

Je me suis bien jure de ne jamais y retourner, comme on peut l’imaginer. Aujourd’hui c’est mon fils aîné qui se passionne pour le foot, et particulièrement pour les rencontres disputées par cette fameuse Olympique de Marseille (l’OM, quoi)… apparemment cette équipe bouge encore, bien que j’aie depuis une sacrée lurette cessé de m’intéresser à ses exploits.

Et puis tout récemment je suis (re)tombé sur un passage de livre qui à mes yeux traduit à merveille mon sentiment d’extraterrestre par rapport à beaucoup de sports en général , et à celui-ci en particulier :


Je pensais à une promenade, le long des quais et à l’un de ces restaurants feutrés comme on en voit dans les films, des maîtres d’hôtel doucereux auraient été les complices de notre intimité …

Dès qu’elle m’a aperçu, elle a brandi deux rectangles de papier bleuté qui se sont révélés être les billets permettant d’assister à une partie de football. C’est un jeu qui se joue avec un ballon en le frappant avec les pieds.

Nous nous y rendîmes.

Lorsque nous pénétrâmes dans les lieux, le béton vibrait. «Parc des Princes », pas de parc et plus de princes, mais c’est ainsi, environ trente milliers de personnes hurlantes, surtout un rougeaud derrière qui, le départ, a affirmé avec une force incroyable que l’arbitre n’avait pas de couilles. Étant donné la distance laquelle ils se trouvaient l’un de l’autre, cette affirmation ne pouvait relever que de la plus haute fantaisie. Il l’a pourtant proclamée une bonne centaine de fois durant la partie avec un entêtement admirable.
L’équipe en bleu était locale et j’ai pensé un instant ils étaient plus nombreux sur le terrain, mais Cécilia m’a expliqué que la chose était interdite. Simplement ils devaient courir plus vite. C’étaient «les Saint-Germain », ils m’ont paru courir vite en effet, mais pour peu de chose, tous ces jeunes gens semblaient guillerets mais un peu chiens fous alors que les rouges devant eux répugnaient manifestement à bouger.

Cécilia les soutenait car elle m’apprit qu’ils étaient bretons. Ils pratiquaient la tactique du menhir. Pendant l’entracte, qui s’appelle mi-temps, nous avons acheté sandwiches avec du saucisson et des bouts de salade fripée qui sortaient du pain. Les maîtres d’hôtel obséquieux étaient de sortie.

Ça a recommencé. Tout de suite le béton qui vibrait a tremblé et je me suis retrouvé seul assis. J’ai vu les fesses du type devant qui tressautaient de joie. 1 à 0 les bleus. J’ai dit à Cécilia que les rouges n’allaient pas se laisser faire et je pense qu’elle m’a été reconnaissante de cette preuve d’intérêt. Je ne me suis d’ailleurs pas trompé car, quelques minutes après, un Breton qui n’avait l’air de rien, a sauté en l’air et paf! Un but.

Silence total dans le stade. Cécilia jubilait. Je me suis penché vers elle et je lui ai chuchoté :
– Il leur faut un ailier de débordement pour effectuer des centres en retrait.
J’ai vu ses yeux s’arrondir, elle s’est reculée sur son siège pour m’examiner plus facilement dans ma totalité, et elle a proféré :
– Mais j’étais persuadée que tu n’y connaissais rien.
J’ai baissé le regard, modestement.
– J’ai joué un peu, autrefois …

J’avais retenu cette phrase de haute tactique proférée quelques minutes auparavant par le monsieur qui émettait sur l’intégrité physique de l’arbitre des réserves sérieuses. Il est extrêmement agréable de se sentir être stupéfiant pour quelqu’un.

Finalement les deux équipes en sont restées au 1 à 1. En quittant nos places nous avons échangé quelques remarques bien frappées sur le peu d’envergure du match, j’ai précisé qu’il eût été préférable que l’arbitre possédât des couilles. Elle a été sur ce point tout à fait d’accord avec moi. Une grande soirée.

Dans le taxi, je lui ai fait jurer que ce serait la dernière. Je déteste toutes les formes de sport, aucune n’échappe à ma vindicte et, dans cette haine générale, le football occupe une place de choix.

Belles galères, un livre de Patrick Cauvin

Patrick Cauvin – Belles galères, Livre de Poche, 1993, P. 101 & suiv.

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